Oui, le terme est un peu « ronflant » et, encore une fois, pas bien français, je sais… mais je n’y peux rien, moi 😉
Bref, voici deux réalisations faites avec de la peinture textile et des strass thermocollants.
Quelques p’tits trucs utiles à savoir avant de se lancer :
– toujours mettre un carton épais entre deux épaisseurs de textile, pour éviter d’écrire devant-derrière en même temps, ça fait pas beau (ou alors on cherche l’effet « négatif », c’est une autre histoire),
– le lendemain, quand c’est bien sec, on repasse sur l’envers pour fixer la peinture (elle tiendra ensuite au lavage, maxi 40°, n’abusez pas quand même, faut pas faire bouillir, hein),
– pour faire des bandes de peinture bien nettes, on utilise du ruban adhésif de bureau (je ne cite pas de marque, mais vous m’aurez compris) que l’on place où on veut et qu’on fait bien adhérer au support ; le tout est à enlever avec précaution, sans attendre le séchage, sinon ça s’écaille en enlevant le sco… argh, non, le ruban adhésif,
– pour les strass, je conseille la pincette pour éviter la crise de nerfs quand on manipule les piti brillants avec ses gros-doigts-saucisses (si si, c’est l’effet que ça fait quand on y est, juré). Et sinon, les strass thermocollants, c’est super génial à fixer : au choix, avec l’outil parfait (qui ressemble à s’y méprendre à un fer à souder), soit un p’tit coup de fer à repasser (sans vapeur, avec un linge entre le fer et les pierres).
Et, sans rire, les sigles japonais veulent vraiment dire « zen », j’ai surf… heu non, étudié très tard à la bibliothèque, pour trouver ça !
Alors, si vous écrivez couramment le japonais, ne vous moquez pas de ma calligraphie, je fais des efforts pour être authentique 🙂
Pour finir, les fleurs de la « branche de cerisier » sont en fait de jolis boutons de nacre, que vous pouvez, au choix, coudre ou coller. Perso, j’ai collé les boutons, puis collé de gros strass dessus.