Je me suis encore amusée avec les adhésifs décoratifs Scotch Expressions, j’adore ces deux coloris de masking tape, et leur largeur de 2,5 cm était parfaite pour ce que je voulais customiser 🙂
J’avais cet jolie caisse en bois brut 12x18cm de chez BoAnita qui ne demandait qu’à être customisée.
J’ai fait réaliser le prénom de ma fille en bois, toujours sur le site internet BoAnita (rubrique personnalisation) : on peut tout demander, avec plein d’écritures et de tailles différentes !!
D’abord, j’assemble ma caisse en bois (trop fastoche, même pas besoin de notice comme chez le suédois) et je la fixe avec quelques points de colle pour qu’elle ne bouge plus.
En effet, elle n’a pas bougé pendant la photo (HAHAHA).
Un petit coup de peinture blanche, de préférence avec les feutres à peinture acrylique pointe XXL de chez Darwi, pour ne pas avoir à rincer de pinceau !
Les couleurs des adhésifs n’en seront que plus éclatantes.
Et enfin, on assemble ses masking tape, en les superposant (ils sont assez couvrants pour ça, bonne nouvelle !), et en recoupant les extrémités.
Le prénom en bois est aussi peint à l’acrylique blanche, pour qu’on le voit bien.
Le diamant rose est une déco d’un déguisement que je devais recoudre, il sera finalement plus utile ici (et ça m’arrange, j’ai horreur de recoudre…).
Le tout est collé à la colle Tacky Glue, ma chouchoute : elle est blanche quand on la dépose (depuis son super embout de précision) et transparente en séchant. Je l’aime d’amour ma Tacky, elle répare tout dans la maison 🙂
Et voilà, ma pépette pourra ranger dans cette petite caisse ses innombrables barrettes et élastiques qui traînent partout dans la maison. Vive le masking tape qui permet de tout décorer facilement !!
Tu aimes le bois ? la déco de Noël ? le bricolage ? protéger les forêts ? (… mais où veut-elle en venir ?)
Ces interrogations ont bien un point commun : la marque PEFC (association loi de 1901) qui promeut la gestion durable des forêts (en renouvelant la forêt, protégeant la faune, flore… favorisant la biodiversité, etc.). Apposée sur un produit à base de bois, elle t’apporte la garantie que le produit que tu achètes est issu de sources responsables et qu’à travers ton acte d’achat, tu participes à la gestion durable des forêts. Elle est pas bonne la nouvelle ?
Je partage avec vous quelques idées brico / déco autour du bois, signées La Fabrique DIY, que j’ai pu tester dans le cadre d’ateliers, et que j’ai trouvé vraiment sympa et originales, et une dernière qui m’a bien plu aussi, proposée par la marque Dremel.
Sapin de Noël en bois PEFC
Le sapin de Noël, tout en tasseaux de bois, percés et empilés sur une tige filletée, c’est malin (zéro épines de pin au sol) et ça permet quand même de la déco ! On peut carrément y suspendre son calendrier de l’avent fait maison 🙂
Matériel pour un sapin :
– 2 tasseaux sapin petits nœuds raboté certifié PEFC de 18 x 34 mm – 2,4m de longueur (prévoir 3 m de tasseaux)
– 1 tige filetée en acier zingué de 45 cm de longueur et 10 mm de diamètre
– 2 boulons de 10 mm de diamètre
– 1 perceuse avec une mèche de 10 mm
– 2 vis
Père Noël en bois PEFC
Cet adorable Père Noël en bois (ou lutin, à toi de voir selon la couleur choisie) est hyper simple à réaliser, je me suis bien amusée à faire le mien 🙂
Matériel pour 3 pères Noël :
– 1 piquet rond en bois certifié PEFC, diamètre 8 cm, longueur 200 cm
– peinture : blanc, rouge, vert, noir (pour un usage extérieur, utiliser de la peinture bois extérieur / pour un usage intérieur, utiliser de l’acrylique)
– 3 vis en inox 3,5 x 25 mm
– 3 perles en bois certifié PEFC
– 1 pinceau rond N°22
– 1 scie
– 1 visseuse ou 1 tournevis
– ruban vert uni de 5 mm de largeur
Etoile origami en papier PEFC
Véritable cerise sur le gâteau, cette étoile en pliage origami sublimera le haut de ton sapin, ou bien elle ornera tes paquets cadeau, c’est à toi de voir.
Matériel nécessaire :
– feuille de papier certifié PEFC
– crayon à papier
– règle
– paire de ciseaux
– ficelle écrue
Couronne de Noël (Dremel)
Et pour orner ta porte d’entrée ou le mur du salon, n’oublie pas la couronne de Noël, c’est un classique qui fonctionne toujours ! Avec une structure en bois, c’est encore mieux, non ?
Matériel nécessaire
Branches peintes en blanc
Crayon de retouche blanc
Ruban
Crayon à papier
Fil de fer
Environ 50 mini-boules de Noël
Dans le tutoriel d’origine, on réalise aussi l’étoile centrale en bois (découpe, ponçage, peinture…). Je l’ai volontairement zappée, car à mon sens, tu dois pouvoir te débrouiller sans : tu peux tout à fait utiliser une étoile existante. Par contre, le pistolet à colle chaude me semble un achat très utile si tu bricoles souvent !
Du coup, il faut ajouter à cette courte liste de fournitures une grosse étoile 🙂
Procure-toi des branches teintes en blanc ou, si tu les as coupées toi-même (respect !), pulvérise-les d’une couche de peinture blanche en aérosol. Assemble-les en les pliant délicatement pour leur donner la forme d’une couronne. Puis attache-les discrètement avec du fil de fer enroulé à intervalles réguliers.
Fixe les éléments décoratifs au pistolet à colle chaude.
Ici, ce sont des mini-boules de Noël, mais tu peux piocher dans tes tiroirs à bric-à-brac (siiii, je sais que tu en as aussi) : petites figurines en feutrine, petits jouets en plastique des enfants (s’ils sont d’accord uniquement, sinon tu t’exposes à une grosse crise), etc.
Suspends au mur avec un joli ruban large, c’est plus chic.
Voilà, n’hésite pas à me montrer ce que tu as fait avec ces idées DIY sur ma page Facebook ou sur Instagram en me taguant (@ateliersdemireia) !
Mon titre est un peu moche et fait très « technique » : mais le niveau laser et l’adhésif de masquage sont vraiment des atouts fantastiques à avoir dans sa manche quand on a des travaux à réaliser !
Dans le cas qui m’occupe, je voulais réaliser une chambre tricolore : du blanc pour le fond, et deux couleurs à mi-hauteur, une pour chaque côté de la chambre. Vert anis pour mon fils et rose corail pour ma fille, ils partagent leur chambre mais ont besoin d’un espace « à eux ».
Régle n°1 – Au laser tu te guideras
Dans l’article « brico » précédent, je te parlais de repeindre des murs de chambre en blanc. ils ne sont pas restés blanc longtemps, puisque je voulais de la couleur à mi-hauteur, te disais-je.
On m’avait prêté ce niveau laser de chez Bosch, je n’en ai pas testé d’autre, mais celui-ci m’a semblé génialement pratique.
Après quelques réglages (faits par l’homme, pendant que je bricolais ailleurs), cette petite bête projetait un beau faisceau laser à la hauteur souhaitée sur mes murs blancs, me guidant ainsi pour coller mon adhésif de masquage !
Et dire qu’on avait fait des marques au crayon pour se guider… Complètement inutiles avec un niveau laser de ce genre !!
Règle n°2 – Sur l’adhésif de masquage tu ne lésineras pas
Venant fraîchement de repeindre en blanc toute la chambre, j’étais un peu frileuse à l’idée de coller un adhésif de masquage sur ma peinture (à peine séchée, planning travaux très serré, j’avais un peu peur que la peinture ne parte avec l’adhésif…).
J’ai donc opté pour un adhésif de masquage de qualité de chez 3M, spécifié pour surfaces lisses, puisque mon mur était parfaitement préparé (mais si, je te l’ai déjà expliqué !).
Très résistant, il ne s’est pas déformé (nous l’avons décollé parfois plusieurs fois pour bien se caler). Nous l’avons ensuite « doublé » par une ligne d’adhésif de masquage beige de faible qualité, juste pour élargir la zone de protection et éviter un coup de rouleau malheureux, si vite arrivé dans l’enthousiasme général (…).
Ma peinture acrylique blanche n’a pas bougé d’un pouce et les raccords sont parfaits !
Règle n°3 – Une peinture de qualité tu choisiras
Nous avons appliqué une peinture corail côté fille, et une peinture vert anis côté garçon.
Pour la petite histoire, nous avions choisi 2 coloris de la marque Hypnotik, fraîchement débarquée au BHV Marais : eau de citron et corail.
À la livraison, la peinture jaune s’était déversée dans tout le colis, nous laissant le soin de tout laver, mais surtout de nous précipiter au premier magasin de brico du coin pour trouver un « équivalent ». Crois-moi que les guillemets ne sont pas là pour rien : aucune comparaison possible entre la peinture de remplacement et la peinture corail prévue.
La peinture Hypnotik est un vrai bonheur à appliquer : une couvrance géniale, une viscosité parfaite, bref une seule couche aura suffi à obtenir une teinte lumineuse, alors que les deux couches de l’autre sont restées un peu ternes… Ce sont les aléas des travaux !
Le résultat est harmonieux, nous sommes contents de notre idée, que nous avons mené à bien avec de belles finitions !
Le niveau laser aura bien servi, nous l’avons rendu (la mort dans l’âme) à son (heureux) propriétaire 🙂
Quand tu fais des travaux, tu voudrais que tout soit facile, mais il ne faut pas oublier de bien préparer ses murs pour que le rendu soit top et que tu ne galères pas trop en chemin.
Je te raconte un peu mon aventure, mais tu y trouveras au passage des astuces bien pratiques !
Règle n°1 – Tes murs tu prépareras
Dans le précédent article « brico », je te parlais de bâcher ton sol et tu as pu voir une jolie photo de chambre rose à souhait.
Voilà le premier défi qui nous attendait : repeindre en blanc deux chambres rose et mauve…
Il a donc fallu préparer les murs : enlever chevilles, clous, adhésifs (du double face pour fixer des miroirs qui a arraché le mur en se décollant…), enduire les trous, laisser sécher, poncer pour avoir un mur bien lisse, trois fois rien, quoi !
L’enduit, s’il t’en faut beaucoup : il existe en poudre, à préparer soi-même en mélangeant avec de l’eau. Je te souhaite bien du courage, car après il faudra tout poncer…
S’il t’en faut peu (tant mieux !!), il en existe en petit pot déjà prêt, avec une spatulette dedans, très pratique si tu déménages et qu’on te demande de reboucher les trous que tu as fait au mur. C’est plus cher évidemment, mais c’est prêt à l’emploi (time is money).
Tu comprends maintenant pourquoi je consacre un article au fait de préparer ses murs ?
Après quoi nous avons pu passer 2 couches de peinture acrylique mono-couche (bravo aux gars du marketing qui ont trouvé ce nom idiot car impensable, sauf si ton mur est déjà blanc !) blanche, au rouleau (et c’est parti la muscu).
Au passage, une astuce si tu peins au rouleau : après ta première couche, ne rince pas ton rouleau (tu perdrais de la peinture pour rien et risquerais de salir ton évier… sans parler de polluer les eaux usées) : mets-le dans un sachet congélation fermé, pour qu’il reste bien humide et ne sèche pas.
Le lendemain matin, tu peux le reprendre direct pour la 2e couche, il est prêt à bosser (lui, hein, parce que toi, ton bras se rappelle bien de la veille…) !
Et toi, as-tu des astuces de peinture à partager avec nous ? Mets-les en commentaire de l’article, on en profitera tous 😉
Quand on s’attaque soi-même à des travaux de rénovation, il y a certaines évidences qu’on a tendance à laisser de côté, alors je vais vous rappeler les règles de base : d’abord, la protection de l’espace à rénover. Non, on ne bâche pas là où on va peindre, mais on préserve certaines zones (le sol, par exemple), mais peut-être aussi un gros meuble laissé au centre de la pièce (car compliqué à sortir).
Suite à un déménagement récent, j’ai largement arpenté les magasins de bricolage et de déco, vont en suivre une série d’articles bien pratiques autour de l’aménagement, des travaux et rénovations !
Règle n°1 – Ton sol tu bâcheras
Certes, la bâche a un coût (dont le prix est proportionnel à sa solidité et donc à son épaisseur), mais elle vous évite vraiment bien des misères : le pinceau qui tombe et roule sur tout le parquet, le pot dans lequel on butte en fin de journée car la fatigue se fait sentir, bref autant de galères évitées avec la pose d’une protection. Là, tu viens de comprendre que le journal étalé au sol, ça ne fera pas l’affaire, ce n’est pas là que tu grapilleras quelques euros sur ta factura finale.
J’avais opté pour la bâche de protection pas chère (environ 3 euros) de chez Casto, vraiment pas très résistante, il fallait faire attention à bien soulever l’escabeau, sinon hop un trou. Mais elle a fait l’affaire.
Avant de peindre, on enlève les plinthes (si si) et on prend le temps de fixer sa bâche de protection avec un adhésif de masquage (même du bas de gamme, pas la peine de prendre le top pour ça, mais ailleurs siiiii, on y reviendra).
On pense aussi à mettre une serpillère en sortie de pièce : si les semelles des chaussures sont tachées, pas la peine de décorer toute la longueur du couloir…
Découverte récente et coup de cœur :la bâche 3M en rouleau, avec adhésif intégré et système pour découper la longueur qu’on veut. Il reste à la déplier pour couvrir un meuble, pour ma part ce fut le plan de travail de la cuisine qui a servi de stockage à tout le matériel de peinture, je n’avais pas envie de le saboter avant même de m’en servir. 😉
J’espère que ce premier article t’a été utile, n’hésite pas à ajouter en commentaire tes propres astuces, elles serviront à tout le monde !
Si comme moi, tu as acheté un lit basique et que tu veux lui donner du style, je te laisse parcourir ma galerie Pinterest contenant plein d’idées pour créer sa propre tête de lit !
Oui, le terme est un peu « ronflant » et, encore une fois, pas bien français, je sais… mais je n’y peux rien, moi 😉
Bref, voici deux réalisations faites avec de la peinture textile et des strass thermocollants.
Quelques p’tits trucs utiles à savoir avant de se lancer :
– toujours mettre un carton épais entre deux épaisseurs de textile, pour éviter d’écrire devant-derrière en même temps, ça fait pas beau (ou alors on cherche l’effet « négatif », c’est une autre histoire),
– le lendemain, quand c’est bien sec, on repasse sur l’envers pour fixer la peinture (elle tiendra ensuite au lavage, maxi 40°, n’abusez pas quand même, faut pas faire bouillir, hein),
– pour faire des bandes de peinture bien nettes, on utilise du ruban adhésif de bureau (je ne cite pas de marque, mais vous m’aurez compris) que l’on place où on veut et qu’on fait bien adhérer au support ; le tout est à enlever avec précaution, sans attendre le séchage, sinon ça s’écaille en enlevant le sco… argh, non, le ruban adhésif,
– pour les strass, je conseille la pincette pour éviter la crise de nerfs quand on manipule les piti brillants avec ses gros-doigts-saucisses (si si, c’est l’effet que ça fait quand on y est, juré). Et sinon, les strass thermocollants, c’est super génial à fixer : au choix, avec l’outil parfait (qui ressemble à s’y méprendre à un fer à souder), soit un p’tit coup de fer à repasser (sans vapeur, avec un linge entre le fer et les pierres).
Et, sans rire, les sigles japonais veulent vraiment dire « zen », j’ai surf… heu non, étudié très tard à la bibliothèque, pour trouver ça !
Alors, si vous écrivez couramment le japonais, ne vous moquez pas de ma calligraphie, je fais des efforts pour être authentique 🙂
Pour finir, les fleurs de la « branche de cerisier » sont en fait de jolis boutons de nacre, que vous pouvez, au choix, coudre ou coller. Perso, j’ai collé les boutons, puis collé de gros strass dessus.
Blogueuse DIY, rédactrice de tutoriels déco, auteure de livres de loisirs créatifs, et aussi community manager : appelle-moi Shivah ou multipotentielle, je suis un couteau suisse !